Auteur(s)
François Grünewald
Nom du média
Lettre d’information sur les Risques et les Crises n°49
Pagination
p. 37-39
01/12/2015
La réflexion internationale sur les aléas non connus ou à probabilité extrêmement faible mais à impact majeur, les fameux « cygnes noirs » (black swans), sur les difficultés de prédire les évènements extrêmes du fait de leur rareté en est encore à ses balbutiements. L’ouvrage « Cygnes noirs : la puissance de l’imprévisible » de Nassim Nicholas Taleb a lancé de façon provocatrice le débat sur l’utilisation des statistiques sur les évènements rares et les difficultés de prédire l’incertain sur la base des données du passé. Dans la suite logique des travaux de René Thom (théorie des catastrophes) ou des recherches sur les phénomènes fractaux ou chaotiques, une nouvelle génération de travaux sur les méthodes prospectives et sur l’élaboration des scénarii cherche à se trouver un ancrage théorique additionnel pour aborder les « cygnes noirs ».François Grünewald
Lettre d’information sur les Risques et les Crises n°49
p. 37-39