Quatre mois après le séisme du 25 avril et la dramatique réplique de mai, le Népal et ses districts touchés tentent de se relever. La masse de débris à déblayer, les besoins de démolition des bâtiments fragilisés et donc dangereux dans les agglomérations rurales et dans Katmandou, la gestion des risques liés à la mousson en cours, ainsi que les tensions politiques liés aux débats sur la Constitution et le découpage du pays forment une équation complexe. La résilience des populations népalaises, leur courage face à l’adversité, n’en sont que plus admirables.