La collaboration avec les organismes des Nations Unies, les gouvernements, les ONG humanitaires et la société civile a été intéressante à plusieurs égards. Elle nous a permis, par exemple, de consulter la société civile des pays touchés par des crises, de mener de nombreuses études auprès d’organismes opérationnels et de recherche, d’engager un dialogue avec les institutions nationales françaises afin d’aider à définir la position de la délégation française et de contribuer à l’élaboration du rapport du Secrétaire général présenté au WHS.
A Istanbul, nous co-organisons et participons à atelier sur la qualité et la responsabilité le 23 mai, en collaboration avec le projet Sphere et le CHS Alliance, et en partenariat avec les ministères suisse et danois des Affaires étrangères. C’est l’occasion de débattre des questions d’efficacité, de qualité et de responsabilité à la lumière de la Norme humanitaire fondamentale, qui vise à atteindre une plus grande cohérence, en harmonisant et en renforçant une approche complémentaire de la qualité.
Nous présentons également Sigmah, un logiciel libre de gestion de l’information, au Marché de l’innovation organisé lors du sommet. En outre, nous participerons à l’atelier sur le soutien aux acteurs locaux. Enfin, dans le prolongement de notre participation aux discussions lors de la préparation du Sommet, nous participons au lancement de l’Alliance globale pour les crises urbaines.
Nous avons également participé à un certain nombre d’autres initiatives dans le cadre de la préparation du WHS. En février 2016, dans le cadre de la préparation de la Conférence nationale humanitaire française, nous avons participé à l’élaboration de la contribution de la France au Sommet. Et par notre participation aux conférences organisées à Aix-en-Provence en janvier et à Dublin en mars par le réseau NOHA, aux côtés des institutions et universités européennes impliquées dans le secteur humanitaire, nous avons contribué à renforcer la position européenne présentée lors du WHS.