L’accent a été mis sur la multiplicité des facteurs de crises (sécheresse et changement climatique, augmentation du prix des denrées alimentaires, vulnérabilité grandissante des populations aggravée par le court laps de temps entre les cycles de crise, catastrophes naturelles, invasion d’acridiens, tensions politiques et conflits).
Les participants à l’atelier ont étudié l’impact de différents programmes (nutrition, transfert d’argent et de coupons, approches nutritionnelles basées sur des mécanismes communautaires ou leur intégration avec des services de santé, etc.) et le besoin de développer des programmes intégrés multi-acteurs, multidisciplinaires et multisectoriels bien coordonnés. De même, la programmation pluriannuelle a été considérée comme une autre voie à explorer.