Ainsi, deux articles cherchent à illustrer comment l’innovation, dernier mot à la mode, ouvre aussi des voies jusque-là inexplorées au point de créer un nouveau secteur d’intervention (la communication et l’accès à l’information pour les réfugiés et autres personnes affectées par les crises). En outre, ce numéro montre comment une approche largement sous–utilisée comme les sciences sociales peut s’avérer pertinente et porteuse d’un autre regard aussi bien sur les acteurs que sur les bénéficiaires.

Les enjeux de reconnaissance et de renforcement des capacités des acteurs nationaux sont quant à eux traités dans le « Point de vue », qui reprend les débats en cours chez les acteurs de la formation. Enfin, les enjeux d’accès humanitaire et de complexité des situations post-crise sont étudiés à travers les exemples respectifs du Liban et de la Colombie.